Je tiens à vous remercier chaleureusement pour votre invitation car j’ai eu l’occasion de vivre, personnellement, une expérience bouleversante.
Je dois avouer que je ne pensais
pas qu’il serait possible un jour de vivre une telle ouverture, un tel
engagement au sein de l’Université… J’étais stupéfaite d’entendre des
mots comme “Amour”, “le Vivant” ou même “Spiritualité”
dans ce cadre Universitaire. Peut être suis-je restée trop longtemps
dans mes montagnes, il était temps pour moi de vous rejoindre !
Mais quelle évolution… Je crois bien
que nous sommes entrain de vivre quelque chose d’exceptionnel de l’ordre
du “Soyons le changement que nous voulons dans le monde” de Gandhi.
Je dois vous dire que ce questionnement autour du sens, du lien, des concordances,
des reliances, à soi, aux autres, au monde, à la terre, est une passion qui m’anime.
Je suis repartie très touchée, nourrie d’un renouveau d’espoir, d’un émerveillement de constater à quel point nous sommes nombreux à vivre et croire en une alternative à “la violence tout azimut” .A oser expérimenter des liens que la raison réfute, dans une danse poétique d’intégration de tout le Vivant en nous et, autour de nous, danser dans une dimension où l’on accepte de prendre pleinement la responsabilité de son être, de sa vie, pour changer soi et du coup, le monde...
Sur le plan plus pratique,
j’ai particulièrement apprécié de trouver beaucoup de professionnalisme,
de respect et de bienveillance de la part des deux facilitateurs. Le
processus en spirale en quatre étapes m’est apparu à
la fois familier et novateur, permettant une pratique simple et
puissante, ouvrant sur la possibilité d’une immédiate efficacité. Et
puis j’ai eu la chance de vivre des partages, que j’ai senti vrais,
sincères et courageux, avec les personnes rencontrées
au “hasard” du travail proposé, notamment une universitaire
Roberta, rencontrée le matin puis à nouveau l’après-midi.
Il n’est bien sûr pas facile de
résumer en quelques mots la richesse de l’expérience que j’ai vécue tout
au long de cette journée, celui pourtant qui reste et qui vibre encore
est celui de … gratitude.
Claire
Françoise
Morato-Lallemand, enseignant chercheur
Tellement merci
aux organisateurs pour ce séminaire puissant qui peut infuser
nos pratiques.
Au-delà de l’injonction
de productivité et d’efficacité à laquelle nous sommes soumis,
cet atelier
était une bulle salvatrice de ralentissement pour faire... ce
qu'on ne fait jamais!
J’ai pu ici me
reconnecter à la façon dont j’ai envie d’exercer mon métier,
et prendre le
temps de me questionner sur cette intention, la préciser.
J’observe comme c’est
indispensable pour répondre autrement aux violences ordinaires
dans notre
métier et apporter un autre regard avec pour focus la qualité
relationnelle.
Ce séminaire
m’a rappelé cette phrase magnifique de C. Singer : « La
transmission
c'est cette attention portée à l'autre qui fait qu'en lui
surgit le meilleur de
lui-même ».
Encore merci!
Excellent travail qui nous aide à mieux gérer notre sentiment d'impuissance.
La première étape, le remerciement, nous motive à faire le constat de toutes les choses merveilleuses qui sont mises à notre disposition, pour vivre et sentir notre vie: tous ces petits détails qu'avec la routine nous oublions de regarder et de remercier, comme l'oxygène.
La deuxième étape a été pour moi une nouvelle perspective. Honorer ma douleur et ma frustration par rapport à la crise de notre mère nature, jusqu'à la valoriser comme une force plutôt que comme une souffrance. C’était une novelle perspective pour moi.
La troisième étape m'a permis de me voir en connexion et de me sentir accompagnée dans le chemin de guérison. L'importance de partager nos visions et nos angoisses et de se rendre compte qu'ensemble nous sommes plus forts. Nous sommes tous un seul être.
Et finalement, construire ensemble un chemin de guérison, de nous-mêmes et de nous tous, de la globalité.
Merci au centre Théories et pratiques du care, Angela et Clément.
La première étape, le remerciement, nous motive à faire le constat de toutes les choses merveilleuses qui sont mises à notre disposition, pour vivre et sentir notre vie: tous ces petits détails qu'avec la routine nous oublions de regarder et de remercier, comme l'oxygène.
La deuxième étape a été pour moi une nouvelle perspective. Honorer ma douleur et ma frustration par rapport à la crise de notre mère nature, jusqu'à la valoriser comme une force plutôt que comme une souffrance. C’était une novelle perspective pour moi.
La troisième étape m'a permis de me voir en connexion et de me sentir accompagnée dans le chemin de guérison. L'importance de partager nos visions et nos angoisses et de se rendre compte qu'ensemble nous sommes plus forts. Nous sommes tous un seul être.
Et finalement, construire ensemble un chemin de guérison, de nous-mêmes et de nous tous, de la globalité.
Merci au centre Théories et pratiques du care, Angela et Clément.
Merci Marianne Claveau et Michel Maxime Egger pour un aussi bel atelier!
Milagros Chavez
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